Jean-Pierre Sueur est intervenu à de multiples reprises au sujet de la situation difficile que connaissent les sinistrés de la sécheresse de 2003 dans le Loiret. Ceux-ci ont vu leurs maisons endommagées et n’ont souvent pas reçu d’indemnisations à la hauteur du préjudice subi.
Jean-Pierre Sueur vient de recevoir une réponse du ministère de l’Intérieur à une question écrite qu’il avait posée sur les reliquats du fonds d’indemnisation. Celui-ci lui confirme que les préfectures ont été invitées par circulaire à établir pour le 15 janvier un bilan des fonds non consommés afin « de les redéployer vers les sinistrés non pris en compte initialement ».
>> La question écrite et la réponse du ministre
>> La République du Centre, 15 janvier 2011
.C’est avec une grande émotion que j’apprends la disparition de Jean-Marc Cochereau. Nous lui devons beaucoup. Jean-Marc Cochereau faisait corps avec la musique. Il vivait intensément chaque concert qu’il dirigeait. Son amour de la musique était indissociable de son profond attachement aux musiciens et aux êtres humains. Il savait créer instantanément avec le public une communication chaleureuse et enthousiaste. Il est mort, comme Molière, en exerçant son art. Il fut pendant une quinzaine d’années un directeur du Conservatoire d’Orléans brillant et attentif, pleinement engagé. Il avait hérité de son père, immense organiste, la passion de la musique qu’il portait en lui. Il la fit généreusement partager, aux jeunes de notre région d’abord, aux musiciens de l’orchestre d’Orléans ensuite et aux publics du monde entier auxquels il a offert de magnifiques concerts, contribuant au rayonnement de notre culture.
Il nous quitte beaucoup trop tôt.
Merci, Jean-Marc.
Jean-Pierre Sueur
.Nous sommes consternés devant la mort de ces deux jeunes de Linselles. Puissent tous les responsables attachés à la civilisation s'unir pour mettre fin à ces actes barbares et à ce terrorisme pour lequel la vie humaine et les êtres humains ne comptent pas.
Jean-Pierre Sueur.
.Les liens que j'ai tissés avec beaucoup d'amis tunisiens me conduisent à exprimer mon émotion et ma tristesse en apprenant que les morts se multiplient en Tunisie.
J'exprime ma solidarité avec tous ceux qui souhaitent des évolutions dans ce pays, le respect de toutes les libertés - et avec tous ces jeunes contraints au chômage et aux expédients, alors qu'ils sont souvent diplômés, et qui veulent être entendus et construire un avenir conforme à leurs si légitimes espérances.
Les autorités tunisiennes ont dit "comprendre" ces aspirations. Cette compréhension est incompatible avec une répression violente et dont les conséquences sont tragiques.
Jean-Pierre Sueur.
> Lire les articles parus dans la presse à ce sujet.
> l'interview publiée par publicsenat.fr le 11 janvier 2011.
.