Jean-Pierre Sueur a été interviewé le 5 juin par Yacha Hajzler, de France 3 Centre-Val de Loire, à propos des fiches S.
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Jean-Pierre Sueur a été interviewé le 5 juin par Yacha Hajzler, de France 3 Centre-Val de Loire, à propos des fiches S.
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C’est avec tristesse que j’apprends le décès de Michel Villeneuve.
Michel Villeneuve a été conseiller municipal d’Orléans de 1995 à 2001.
Il était conseiller municipal délégué, chargé des transports et de la sécurité routière.
Toujours disponible, très sérieux dans l’exercice de ses responsabilités, d’une grande rigueur intellectuelle, Michel ne cherchait pas à se mettre en avant. Mais il s’impliquait beaucoup dans l’exercice de son mandat, faisant bénéficier la Ville de toutes les compétences acquises lors de son parcours professionnel à l’étranger et au sein de la Direction régionale de l’Équipement. Il était attaché à son quartier de Saint-Marceau.
Michel avait été résistant très jeune, à 17 ans. Il était titulaire de la Croix du Combattant Volontaire 1939-1945 et de la Croix des Combattants Volontaires de la Résistance. Il était Chevalier de l’Ordre National du Mérite.
À son épouse Ghislaine et à ses enfants, j’exprime toute mon amitié dans cette épreuve.
Jean-Pierre Sueur
Je tiens à féliciter la commune de Bray-Saint-Aignan pour la très remarquable exposition qu’elle nous offre dans sa salle des fêtes jusqu’au 24 juin prochain.
Intitulée « Graine de Poilus : l’enfance de 1870 à 1920 », cette exposition présente « l’école, la littérature, les jeux et les jouets des enfants » et de nombreux documents.
Aussi bien les livres, manuels, affiches que les nombreux jeux et jouets (ce sont des pièces uniques, fruit d’années de recherche) témoignent de ce qu’étaient l’éducation et l’instruction des enfants et des adolescents à une époque où, après la défaite de 1870, après l’annexion de l’Alsace et de la Lorraine, le sentiment patriotique était très fort. Il était cultivé et développé par toutes sortes d’instances et de moyens. Et d’abord au sein des écoles communales. La France se préparait à un nouveau conflit.
Parallèlement à cette exposition, la commune de Bray-Saint-Aignan publie un livre très documenté sur la Grande Guerre – un conflit armé qui a fait dix millions de victimes ! – et présente chacun des enfants de la commune de Bray qui ont été soldats lors de cette grande – et terrible – guerre.
C’est un travail considérable.
Il permettra à chaque famille de la commune de se souvenir de tous ceux qui ont tout donné « pour la France. »
Merci donc à la municipalité de Bray-Saint-Aignan.
Et merci et bravo à ceux qui ont tant travaillé pour préparer cette exposition et ce livre : Colette Camus, Thierry Chassiot, Yves Mazuray, Dany Méthivier, Annick Pivoteau et Didier Pivoteau.
Jean-Pierre sueur
Tous ceux, dont je suis, qui aiment Beaugency, ont mille fois admiré son pont, l’un des plus anciens ponts de la Loire, dont l’harmonie nous séduit, même si nous discernons quelques irrégularités dans la succession de ses arches – et aussi à cause de cela !
Mais il ne faut pas se fier aux apparences, et l’histoire de ce pont fut mouvementée, tumultueuse. C’est presque une histoire picaresque. L’on admire encore davantage ce pont lorsqu’au-delà des légendes qui le hantent – comme celle du Diable et du chat –, on connaît les multiples épisodes de son histoire.
C’est pourquoi je suis reconnaissant à mon ami Dominique Daury qui a publié récemment une « histoire du pont de Beaugency » (qui constitue un supplément au bulletin annuel de 2017 de la Société archéologique et historique de Beaugency).
On y apprend que le premier pont, très probablement en bois, date du XIIe siècle ; qu’il n’y avait pas un pont mais deux – on parlait des ponts de Beaugency –, le plus petit, souvent victime des crues, conduisant d’une île – l’île des ponts – à la route de Lailly-en-Val ; qu’il y eut de part et d’autre des forteresses et des pont-levis ; qu’il y eut sur le pont une chapelle dédiée à Saint-Antoine, et une autre à Saint-Jacques, des commerces, un octroi, des habitations dont celle du « proviseur du pont » ; qu’il fallut construire une « arche marinière », le passage du pont suscitant maints problèmes au temps de la navigation sur la Loire ; que l’on doit à Francis Hennebique, inventeur du béton armé, la configuration actuelle du pont, en partie reconstruit et restauré à partir de 1946…
Mais j’arrête là. Et je vous laisse au plaisir de la lecture.
Jean-Pierre Sueur
Jean-Pierre Sueur a cosigné une proposition de loi présentée par Vincent Delahaye « renforçant la lutte contre les rodéos motorisés sur la voie publique. »
Ces « rodéos » créent dans plusieurs communes du Loiret de très réels problèmes de sécurité en même temps que des nuisances sonores.
Le dispositif légal actuel ne permet pas de les réprimer efficacement.
C’est pourquoi Jean-Pierre Sueur a cosigné cette proposition de loi.